« [...] Derrière les rondeurs goitreuses de Manolis Kalomiris (1883-1962) se cache le père de la musique grecque moderne. Les Ballades (1905-1906) sont des œuvres de bruit et de fureur, qui gardent une audace étonnante, tandis que la Rhapsodie n° 2 "Chant à la nuit" exploite la matière sonore avec un raffinement qui atteste l'influence de la musique française. Olivier Chauzu relève avec beaucoup d'aisance les défis de ces œuvres virtuoses. Très belle découverte.» (Diapason, janvier 2018 / Bertrand Boissard)